Lemmy Kilmister disait de
Nashville Pussy que c’est le
dernier grand groupe de Rock And Roll américain en activité. Écumant les
scènes du monde entier depuis le milieu des années 90, et après sept
livraisons studio, Eaten Alive est
leur second album capté en public (en comptant le confidentiel Live In Rennes,
France 1998). Depuis les restrictions liées au COVID, nombre de formations ont
commercialisé des prestations enregistrées en « livestream », sans
auditoire en vis-à-vis. Autant appeler cela un Best Of. Ici c’est de
l’authentique, enregistré à Leeds devant de vrais gens qui gueulent, et un
groupe qui joue à fond.
Low down dirty pig ou
Go motherfucker go résument à eux
seuls ce qu’est la magie d’un concert et son énergie communicative. A classer
aux cotés de If You Want Blood, Double Live Gonzo et
No Sleep ‘til Hammersmith. Indispensable après deux ans de frustrations et d’interdictions de spectacles.
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