Je suis loin d'être un amateur de Metal Symphonique. Je ne suis pas non plus
un grand spécialiste de Death Metal. Autant dire que j'aborde cette chronique
avec un certain handicap. Je me demande même comment réussir à sortir les 150
mots habituels que je me suis fixé pour rédiger mes articles. Commençons par
l'emballage. De l'esthétique de la pochette se dégage une sensation étrange de
puissance et de mystère qui détonne avec le côté puérilement gore auquel
certaines productions Death nous ont habituées. Vient ensuite le contenu. Dès
les premières notes, un constat : le son est énorme, mettant en valeur les
compositions et arrangements de grandes qualités de Martin Hamiche. On
débranche le cerveau pour se faire happer par l'univers musical et commence
alors un parcours initiatique où chacun se laisse bercer par ses propres rêves
de nature sauvage.
A Dream Of Wilderness et
Aephanemer exigent votre
attention.
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