D.F.R.

Oublier Squealer dans une discothèque consacrée au Hard-Rock est, à mon humble avis, une faute de gout impardonnable. Certes, je ne suis pas objectif (la formation nantaise faisant partie de mes préférées), mais quand on écoute D.F.R. (acronyme de Drinking Fucking Rocking), il est difficile de bouder son plaisir. Le quintet se démarque déjà de la plupart de ses compatriotes de l’époque en oubliant sa langue natale au profit de celle de Shakespeare. La musique, elle, s’oriente vers un Heavy faisant penser à Accept ou Helloween (Liar, Fuck the cops). Le timbre de voix de Pascal Bailly, croisement entre Bon Scott et Udo Dirckschneider, allié aux guitares inspirées de Yann Chamberlin et Laurent Lachater fait mouche sur chaque titre. Difficile d’extraire un morceau en particulier tant cet album est bon. De Power it’s me à Hate on the wall, D.F.R est un classique du Metal Français. A posséder absolument!!!

3 commentaires:

  1. Gros, très gros coup de foudre dès la première écoute !
    La musique et la voix particulière de Pascal Bailly sont absolument géniales !!!
    "Lady love,Lady beach " euh pardon " Lady love,Lady bitch " me fait forcément penser au grand amour particulier de ma vie ...

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  2. Bien d'accord, ce disque est énorme avec un Squealer qui alors avait pris une grosse claque avec le "Metal Heat" d'Accept et ça s'entend sur ce mini LP où bien sûr on retrouve les influences primales de Pascal Bailly, le chanteur leader, c'est à dire AC/DC et Rose Tatoo. A f-----g Masterpiece !

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    1. Hello, merci pour ton commentaire et à bientôt au détour d'un concert.

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